Blog Afrique & Développement International
Notre expertise sur les marchés africains au service du développement international
Notre expertise sur les marchés africains au service du développement international
La blockchain fait partie des technologies prometteuses en termes d’impact sur les organisations et la société dans les prochaines décennies. Ses avantages combinés sur les plans sécurité, transparence, automatisation et réduction des coûts, font de cette technologie un atout sérieux pour les organisations souhaitant augmenter l’efficacité et le niveau de transparence de leurs process. La blockchain pourrait-elle également rendre la coopération financière entre bailleurs de fonds et pays partenaires plus transparente et efficace ?
On parle généralement du leapfrog africain pour qualifier le bon technologique du continent dans certaines branches du secteur tertiaire, notamment bancaire et télécom. Le secteur primaire est quant à lui souvent considéré comme le parent pauvre du développement, avec une agriculture africaine essentiellement vivrière et faiblement productive, ne permettant pas aux paysans de dégager des revenus suffisants. Pourtant, le continent dispose de 60% des terres arables inexploitées de la planète et le secteur primaire emploie environ 65% de la main d’œuvre. Avec une population amenée à doubler d’ici 2050, comment produire suffisamment et de façon durable dans une Afrique qui se réchauffe ?
Pour la 4ème fois depuis 2011, le Baromètre du Développement International (BDI) du Maroc, a analysé les stratégies de développement des entreprises marocaines. Et comme pour l’édition 2015, l’édition 2020 s’est intéressée précisément au développement des entreprises marocaines sur le continent africain.
Les Structures d’Accompagnement à l’Entrepreneuriat Innovant (SAEI) constituent au moins autant que les financeurs, un élément central de la chaîne de valeur de l’entrepreneuriat en Afrique. A horizon 2025, un quart des habitants de la planète sera africain. Si l’entrepreneuriat est effectivement un levier clé de lutte contre le chômage, les SAEI apparaissent comme le maillon fort sur lequel s’appuyer pour, d’une part, assurer la transition de l’informel vers le formel, d’autre part, créer des entrepreneurs africains professionnels et pérennes.
Comment les Institutions Financières Internationales, bailleurs de fonds, agences onusiennes et autres acteurs de l’aide au développement, peuvent-ils tirer le meilleur parti du numérique dans leur manière d’accompagner les pays africains ?
Depuis 11 ans, dans le cadre de son Observatoire du Développement International (ODI), BearingPoint et ses partenaires HEC Paris et le CIAN, interrogent des dirigeants sur les enjeux du développement international. Intitulée « Métamorphoses, ou comment les entreprises françaises se réinventent en Afrique et pour l'Afrique », l’édition 2020 de l’ODI analyse le couple « groupe-filiale » en Afrique, selon 3 axes : l’organisation, la valorisation du capital humain et les mécanismes d’innovation. Retour sur les principaux enseignements.
Si en Europe et aux Etats-Unis, ce sont les grandes entreprises qui se font le porte-étendard de nouveaux modèles économiques, sous-tendus par le vecteur digital, et exploités à travers une hybridation graduelle de leurs modèles actuels (pour les plus performantes d’entre elles), en Afrique, c'est le fait des startups.
Comment les IFI (Institutions Financières Internationales), bailleurs de fonds, agences onusiennes, organisations publiques nationales, fondations privées, et autres acteurs de l’aide au développement, peuvent-ils tirer le meilleur parti du numérique dans leur manière d’accompagner les pays africains ? Voici quelques pistes de réponses tirées de notre livre blanc, Bailleurs et digital en Afrique.