Notre expertise sur les marchés africains au service du développement international
La fermeture des frontières lors de la crise de la COVID 19 a engendré une chute de 90% du trafic aérien « passagers » en avril 2020. La régression des échanges a entrainé une chute de 30% du volume du fret aérien sur la même période. Si certains continents se remettent peu à peu de ce coup d’arrêt mondial et retrouvent aujourd’hui des niveaux de trafic pré-covid, ce n’est pas forcément le cas de l’Afrique qui doit faire face à plusieurs défis. Pourtant, plusieurs opportunités se présentent sur le continent pour lui permettre de reprendre son envol.
Le baromètre BearingPoint / CIAN de 2022 sur les inégalités professionnelles entre les hommes et les femmes en Afrique a dressé un certain nombre d’enseignements dont une analyse sur le coût économique lié aux inégalités. Cet article se penche sur les solutions afin de parvenir à l’égalité professionnelle.
Le baromètre BearingPoint / CIAN de 2022 a souhaité se pencher sur les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, en Afrique. Pour approfondir son analyse, le baromètre a mené une étude auprès d’un large panel d’organisations, dont l’article offre un aperçu des principaux enseignements.
Cet article, le deuxième volet d’une série de publications portant sur l’apport du numérique pour l’Enseignement et la Formation Technique et Professionnels (EFTP) en Afrique, effectue un état des lieux des initiatives ainsi que les moyens financiers et non financiers mis à disposition pour le développement de l’EFTP.
Cet article constitue le premier volet d’une série d’articles portant sur l’apport du numérique pour l’Enseignement et la Formation Technique et Professionnels (EFTP) en Afrique. Cette première publication identifie les grandes dynamiques et tendances de l’EFTP sur le continent et l’intérêt à former au numérique et utiliser le numérique au service de la formation professionnelle ou de l’éducation supérieure en Afrique.
A l’heure où l’inclusion financière est reconnue comme un vrai catalyseur de développement et de réduction de la pauvreté, de nombreux acteurs du monde financier ont mis l’accent sur l’importance de la réduction de l’utilisation de moyens de paiement scripturaux au profit de moyens de paiement digitaux.
On parle généralement du leapfrog africain pour qualifier le bon technologique du continent dans certaines branches du secteur tertiaire, notamment bancaire et télécom. Le secteur primaire est quant à lui souvent considéré comme le parent pauvre du développement, avec une agriculture africaine essentiellement vivrière et faiblement productive, ne permettant pas aux paysans de dégager des revenus suffisants. Pourtant, le continent dispose de 60% des terres arables inexploitées de la planète et le secteur primaire emploie environ 65% de la main d’œuvre. Avec une population amenée à doubler d’ici 2050, comment produire suffisamment et de façon durable dans une Afrique qui se réchauffe ?
Pour la 4ème fois depuis 2011, le Baromètre du Développement International (BDI) du Maroc, a analysé les stratégies de développement des entreprises marocaines. Et comme pour l’édition 2015, l’édition 2020 s’est intéressée précisément au développement des entreprises marocaines sur le continent africain.
Les Structures d’Accompagnement à l’Entrepreneuriat Innovant (SAEI) constituent au moins autant que les financeurs, un élément central de la chaîne de valeur de l’entrepreneuriat en Afrique. A horizon 2025, un quart des habitants de la planète sera africain. Si l’entrepreneuriat est effectivement un levier clé de lutte contre le chômage, les SAEI apparaissent comme le maillon fort sur lequel s’appuyer pour, d’une part, assurer la transition de l’informel vers le formel, d’autre part, créer des entrepreneurs africains professionnels et pérennes.